Présentation
Félicie d’Estienne d’Orves, née en 1979 à Athènes, vit et travaille en France.
Artiste plasticienne dont le matériau est la lumière, elle crée des installations et des performances qui font appel à une connaissance phénoménologique du réel et interrogent le conditionnement de notre regard. Dans son travail, la lumière est à la fois l’outil et le sujet. Elle s’intéresse à la définition des limites de l’espace physique et cosmologique par la lumière et sa vitesse. L’espace est le matériau même qu’elle travaille et grâce auquel elle interroge nos champs de perception.
À la manière des artistes du Land art des années 1970, elle explore la « terra incognita » qu’est l’espace, comme avec Continuum (Centre Pompidou, 2019), la reconstitution sur écran panoramique d’un coucher de soleil martien. Ces deux expositions monographiques, « Soleils Martiens » (2022 au Lieu unique à Nantes) puis « Sortir au jour » (à l'abbaye de Maubuisson en 2023), questionnent le cycle de vie de la matière et les horizons liés à l’évolution de notre connaissance astrophysique.
Ses œuvres pérennes, réalisées à l’échelle d’une ville, comme à Louvain avec l’Atome primitif dans le cadre du projet Nouveaux Commanditaires (2021), ou de la gare du Parc des Expositions (Projets Tandems du Grand Paris), mettent à l’échelle de la marche des paysages cosmologiques.
Son travail a été présenté au Centre Pompidou, à Nuit Blanche, au Centquatre 104, à La Fabrique Agnès b (Paris), au Fresnoy – Scène nationale (Tourcoing), à la Fondation Vasarely (Aix-en-Provence), à l’Abbaye de Maubuisson (Saint-Ouen-l’Aumône), à l’occasion des 500 ans du Havre (Le Havre), au State Studio (Berlin), etc. Watermans Arts Center (Londres), New Art Space / Sonic Acts (Amsterdam), TBA Teatro do Bairro Alto (Lisbonne), Ars Electronica (Linz), Elektra Festival (Montréal), Day For Night (Houston), OCAT (Shanghai), Aram Art Museum, Jeju Biennale (Corée) - New Media Gallery (Vancouver), etc.
Artiste plasticienne dont le matériau est la lumière, elle crée des installations et des performances qui font appel à une connaissance phénoménologique du réel et interrogent le conditionnement de notre regard. Dans son travail, la lumière est à la fois l’outil et le sujet. Elle s’intéresse à la définition des limites de l’espace physique et cosmologique par la lumière et sa vitesse. L’espace est le matériau même qu’elle travaille et grâce auquel elle interroge nos champs de perception.
À la manière des artistes du Land art des années 1970, elle explore la « terra incognita » qu’est l’espace, comme avec Continuum (Centre Pompidou, 2019), la reconstitution sur écran panoramique d’un coucher de soleil martien. Ces deux expositions monographiques, « Soleils Martiens » (2022 au Lieu unique à Nantes) puis « Sortir au jour » (à l'abbaye de Maubuisson en 2023), questionnent le cycle de vie de la matière et les horizons liés à l’évolution de notre connaissance astrophysique.
Ses œuvres pérennes, réalisées à l’échelle d’une ville, comme à Louvain avec l’Atome primitif dans le cadre du projet Nouveaux Commanditaires (2021), ou de la gare du Parc des Expositions (Projets Tandems du Grand Paris), mettent à l’échelle de la marche des paysages cosmologiques.
Son travail a été présenté au Centre Pompidou, à Nuit Blanche, au Centquatre 104, à La Fabrique Agnès b (Paris), au Fresnoy – Scène nationale (Tourcoing), à la Fondation Vasarely (Aix-en-Provence), à l’Abbaye de Maubuisson (Saint-Ouen-l’Aumône), à l’occasion des 500 ans du Havre (Le Havre), au State Studio (Berlin), etc. Watermans Arts Center (Londres), New Art Space / Sonic Acts (Amsterdam), TBA Teatro do Bairro Alto (Lisbonne), Ars Electronica (Linz), Elektra Festival (Montréal), Day For Night (Houston), OCAT (Shanghai), Aram Art Museum, Jeju Biennale (Corée) - New Media Gallery (Vancouver), etc.